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Logiciel CSRD : Simplifiez votre conformité avec la nouvelle directive sur la durabilité

Logiciel CSRD : Simplifiez votre conformité avec la nouvelle directive sur la durabilité

3 avril 2025 | Stratégie

On ne parle plus que de ça dans les « cercles RSE » : la fameuse directive CSRD, qui remplace et renforce la Non-Financial Reporting Directive. Entrée en vigueur le 1er janvier 2024 (pour les plus grandes entreprises), elle va progressivement toucher beaucoup plus d’entreprises qu’avant. D’ailleurs, on estime qu’environ 50 000 entités seront soumises à ces nouvelles obligations de reporting en matière de durabilité. Pour certaines, c’est une première. La transparence extra-financière se généralise, et il va falloir s’équiper.

Le logiciel CSRD, futur meilleur ami du DAF

On s’imagine parfois que respecter la CSRD, c’est juste coller deux-trois chiffres sur l’empreinte carbone dans le rapport annuel.

Nope.

La directive est relativement exigeante : on parle de publier des informations « standards ESRS » sur l’environnement, le social, la gouvernance, la chaîne d’approvisionnement… Autant dire un volume de données conséquent, à recueillir, calculer et tracer régulièrement.

Le logiciel CSRD permet donc ici de centraliser toutes ces informations (de la comptabilité carbone à l’évolution du turnover ou des conditions de travail), et d’automatiser la production des reportings conformes.

Pas de tableur Excel cryptique, pas de scripts maison bricolés : on vise une solution structurée, évolutive, qui agrège les flux pertinents et nous mâche la partie reporting.

Bref, un outil indispensable quand on ne veut pas passer des semaines à patauger.

Pourquoi adopter un logiciel CSRD dès maintenant ?

Parce que beaucoup d’entreprises (et donc peut-être la vôtre) sont déjà concernées, et qu’attendre la dernière minute est évidemment une très mauvaise idée…

Plus tôt on s’y prend, mieux on peut organiser la collecte, clarifier la méthodologie, paramétrer l’outil.

Sans parler du fameux « risque de fiasco » : imaginer qu’à quelques mois de la première publication, on réalise qu’on n’a pas la bonne base de données pour calculer le scope 3 des émissions, ou qu’on ignore le format d’export ESRS.

Adopter un logiciel CSRD en amont permet :

  • de structurer la gouvernance RSE,
  • de fiabiliser la donnée (pas d’erreur grossière qui fait s’écrouler la crédibilité du rapport),
  • et de gagner un temps précieux pour la suite (les reportings seront récurrents).

Les fonctionnalités clés d’un bon logiciel CSRD

Un outil « CSRD-ready » doit répondre à quelques exigences minimales. En clair, on cherche un package complet qui facilite la vie :

  • Collecte de données multi-sources : On peut importer les données carbone, social, RH, finances, etc., qu’elles proviennent d’ERP, d’apps métier, de tableurs. L’important, c’est que la plateforme sache consolider tout ça proprement.
  • Calcul et agrégation : Il faut pouvoir modéliser les indicateurs RSE, calculer l’empreinte carbone par produit, le ratio femmes/hommes dans le management, l’absentéisme, etc. On veut un système capable de paramétrer ou de s’adapter aux multiples référentiels.
  • Reporting conforme : La CSRD impose un format standard ESRS (European Sustainability Reporting Standards). Un bon logiciel propose des templates ou des exports adaptés, histoire de ne pas perdre du temps en mise en page manuelle.
  • Tableaux de bord et suivi : L’idée n’est pas qu’une fois par an, on sorte un PDF massif. Vous aurez besoin d’un pilotage continu pour voir l’évolution des émissions de CO2, comparer aux objectifs, repérer les écarts. L’outil doit donc proposer des dashboards interactifs pour suivre la trajectoire RSE.
  • Collaboration : Les données RSE ne viennent pas que d’un service, cela concerne la supply chain, la finance, les sites de production… Un bon logiciel CSRD doit offrir une interface collaborative pour que chacun alimente, valide, commente.

Il s’agit plus ou moins d’un SIRH version RSE, un lieu unique où convergent tous les indicateurs durables, qu’on exploitera pour satisfaire à la directive et, plus largement, pour piloter sa stratégie éco-socio-responsable.

Opteva, une solution complète pour répondre à la CSRD

Parmi les éditeurs qui se penchent sérieusement sur la question, l’éditeur nantais Opteva émerge comme une solution CSRD française tout-en-un pour piloter à la fois la performance financière et extra-financière.

Leur idée : ne plus séparer la dimension RSE du volet financier, parce qu’au fond, les deux sont liés dans la réalité (investissements, coûts, marges, etc.).

Opteva se démarque par une promesse de mise en service rapide (on ne part pas de zéro, il existe déjà des modules paramétrables) et une pédagogie claire, qui permet aux opérationnels de se projeter sans trop de jargon.

L’approche ? Guidée, structurée, et on avance au rythme de l’entreprise. Pas question d’ensevelir les équipes sous une couche techno inutilement complexe.

Concrètement, Opteva propose :

  • Une comptabilité carbone intégrée, pouvant calculer les coûts carbone par produit ou service,
  • Un suivi de trajectoires RSE : on peut se fixer des objectifs, suivre leur réalisation, ajuster si besoin,
  • La production de reportings CSRD alignés sur les standards ESRS, pour être en conformité sans y passer des heures,
  • Des tableaux de bord partagés, permettant d’animer la stratégie RSE dans un environnement collaboratif.

Autre point fort, l’accent sur la simplicité de l’outil et donc l’autonomie des utilisateurs. Avec peu (voire pas) de code, chacun peut manipuler la plateforme, configurer ses indicateurs ou rapports, sans dépendre d’un prestataire externe ou de la DSI pour la moindre évolution.

On gagne donc en réactivité, et on évite le syndrome « super outil, super consultant, mais on est paumés quand il part ».

Opteva se veut un vrai partenaire dans la durée, avec un support expert à disposition si besoin.

5 critères pour bien choisir son logiciel CSRD

Que vous envisagiez Opteva ou une autre solution, voici quelques questions pour aider à faire le bon choix.

  1. Couverture des standards : L’outil gère-t-il vraiment la CSRD et les ESRS, ou se contente-t-il de quelques indicateurs ?
  2. Évolutivité : Les exigences RSE vont continuer d’évoluer, de nouveaux axes apparaîtront. L’éditeur suit-il la cadence ?
  3. Interopérabilité : On ne veut pas ressaisir la data 50 fois. L’outil doit se brancher à l’ERP, au SIRH, à la supply chain…
  4. Ergonomie et collaboration : Est-ce que les opérationnels peuvent s’en emparer facilement ? Y a-t-il un workflow de validation, une interface partagée ?
  5. Accompagnement : La mise en place d’un tel outil n’est pas qu’une affaire technique, c’est aussi un vrai chantier d’adoption interne. Le fournisseur propose-t-il du support, de la formation, etc. ?
  6. Sécurité et conformité : un paramètre hyper stratégique si vous manipulez des infos sensibles (fournisseurs, bilans carbone détaillés, marges, etc.).